[Michael Ackerman] J’avais un engagement viscéral, et sincère avec la ville. Presque toutes les nuits que j’ai passées à Bénarès, je m’endormais très, très désespéré pour me réveiller et avoir une autre chance d’absorber ce qui était là et de me connecter avec ça. La ville de Bénarès est une combinaison intense de conte de fées et de cauchemar. C’est un lieu très saint pour les gens et chaque jour, ils y viennent par centaines, voire par milliers. C’est un pèlerinage sans fin. En même temps, c’est un endroit si sombre où la mort est toujours présente. Il y a juste ce chaos poétique, une belle urgence.
[TAWP] Acheté après la rédition. La pellicule est au bout du rouleau, la mort est fantasmagorique et crue. Magistral. Cette impression n'as pas changée ! Le format un peu plus grand, la photogravure un peu moins belle, c'est une autre version, on imagine le choc que cela a du être à l'époque. Courageux Robert Delpire.
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