[Editions André Frère] 12 novembre 2012 : un dernier caillou de crack crépite sur le couvercle, l’opercule d’une bouteille de lait pasteurisé. C’est le dernier jour d’Antoine d’Agata à Valparaiso, où il a été invité par Rodrigo Gomez Rovira, directeur du Festival International de Valparaiso (FIFV), à participer à un workshop… Une nouvelle occasion pour le photographe de lâcher prise, au fil de la nuit de Valparaiso. C’est une forme d’épiphanie qui attend là-bas Antoine d’Agata: dans les vapeurs de crack et la claustrophobie des chambres d’hôtels, la société du spectacle révèle son vrai visage – froid, pixelisé, et addictif…
[TAWP] Intense, vrai, dérangeant